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NOS ARTISTES
Voici une présentation des artistes de W2M, notre bouquet des projets résident
- Accompagnement dans leur développement artistique.
- Garantir la visibilité et la promotion de leur contenu.
- Les guider dans leurs démarches administratives.
- Une équipe dédiée à chaque projet avec une vision complète aussi bien artistique que promotionnelle.
GOULAM
Goulam est un artiste d'origine comorienne né sur l’île d’Anjouan. Bercé dans la musique comorienne et les rythmes africains, la musique est pour lui quelque chose de naturel.
C'est vers l'âge de 7 ans qu'il rencontre son premier public en participant à de nombreuses scènes et festivals en tant que musicien dans un premier temps. À cette époque, il décide d'apprendre à jouer de plus
en plus d'instruments de musique (le piano, la batterie, la guitare, la guitare basse, et les
percussions).
Arrivé en France en 2007, c'est entre ces deux modes de vies qu'il enrichie son propre univers musical. En 2011, il décide de se concentrer sur sa voix et débute la composition.
Il s'est révélé en octobre 2016 par sa chanson "Nyora Mbili" ft. Rekman Seller qui réalise un énorme
carton : 4 millions de vues sur YouTube. Depuis il a produit des singles qui sont devenus des
incontournables auprès de sa communauté. Après avoir conquis les Comores et Mayotte, il se lance
à la conquête du public francophone.
Goulam s’est révélé au grand public en avril 2020 grâce à son single « On s’en ira » qui a connu un
franc succès notamment sur le réseau social « TikTok ». La chanson atteint + de 20 millions de vues
sur YouTube (original + remix kompa)
Le 19 mars 2021, Goulam passe à la vitesse supérieure et sort son nouvel EP « Un peu de nous », un
mélange de sonorités qui lui permet de s’affirmer auprès de divers pays. Cet EP suit la logique de
ses derniers hits « On s’en ira » et « Pour toujours »
Goulam, c'est une voix pleine d'émotions et un artiste complet qui nous touche de par son talent de compositeur, sa simplicité et sa richesse culturelle.
JAHSIK
Jahsik, de son vrai nom Enzo, a grandit partagé entre deux passions : la musique et le football.
À 14 ans, il intègre le centre de formation de Brest, puis l'année suivante il signe au Toulouse Fontaine Club (2ème meilleure club de la ville). En parallèle de sa carrière sportive, il participe à la création d'un collectif nommé Black Empire Sound,
avec lequel il organisa ces premières soirées.
Suite à de nombreuses blessures, il décide de mettre fin au rêve qu'il partageait en commun avec
son père Guy (alias Gido) : "celui d'être un jour footballeur professionnel".
Un retour à zéro qu'y a été une remise en question, lui amenant cette envie de réussir dans la musique.
Guy alias "Gido" était une figure emblématique de la
Guyane. Il fut proche du peuple grâce à l'une de ses
marques de vêtements portés par les grands
artistes de la Caraïbe tels que : Admiral T, Krys pour
ne citer qu'eux... et certains footballeurs.
Suite au décès de son père en 2014,
Jahsik a traversé un des moments
les plus difficile de sa vie,
une tragédie qui donnera naissance
a un single hommage, nommé "PAPA".
Jahsik peaufine son art et sa musique sans relâche jusqu'à multipliés les collaborations avec
des artistes reconnus. Après une succession de singles de plus en plus prometteurs, sa
notoriété s'est agrandi, il enchaîna alors ces premiers concerts.
La suite logique était inévitable...
Jahsik sort son plus gros hit : "Oh Skant !".
Il enflamme alors les soirées Antillo-Guyanaise.
Dès lors, il prend un nouveau départ et enchaîne les
prestations dans tout l'hexagone.
2020 marque un nouveau tournant dans sa carrière, en
signant avec le label W2M. Il sort son premier projet
nommé "Wait and See”, l'expression phare de son père. Il
s'installe dès lors à Paris afin d'y développer sa carrière
musicale, car pour lui :
"il n'y a qu'une seule réussite dans la vie, c'est de vivre sa vie comme on l'entend".
KEURTA
Auteur, compositeur, interprète, Keurta est un jeune artiste du 78 qui compte déjà de nombreux projets et une centaine de textes à son actif, Keurta entend bien figurer parmi les grandes figures du rap français dans les années à venir.
En 2013, il enregistre pour la première fois en studio et porte le projet « Monty Compil ». Il enchaîne ensuite les scènes et réalise lui-même ses premiers clips avec l’aide de son père, avant de sortir son tout premier EP « Monde Métis » en 2015, comportant 7 titres.
Cette passion pour la musique et l’écriture va le pousser à sortir dans la foulée deux autres EP de 7 titres également : « JLV » en 2016 et « Au-delà des Frontières » en 2017.
Ces nombreux projets vont accélérer la carrière du jeune artiste et sa réputation ne va cesser de croître, surtout au sein de son département. Il s’associe d’ailleurs avec Nejma (fondatrice de NDesign Corporation) pour la réalisation de tous ses nouveaux clips.
Fin 2018, Keurta fait son grand retour avec un tout nouveau morceau qu’il intitule « Kery James », en hommage au géant du rap « conscient » du même nom. Ce morceau est un véritable tournant pour Keurta qui va alors connaître un énorme succès !
Le clip est visionné plus de 300.000 fois sur Youtube et Kery James lui-même validera l’artiste sur ses réseaux sociaux ainsi qu’à la télévision, en l’annonçant comme la relève du rap français dit conscient.
À la suite de ce succès, Keurta enchaîne les nouveaux morceaux avec des clips de grande qualité. Il décide de retirer ses trois premiers EP des plateformes pour faire place à son tout premier projet édité par la maison d’édition « WeMake Music ».
Cet EP se nomme « 7K8 » et annonce officiellement l’entrée de Keurta dans le monde du rap français.
PITAKPI
Créé en 2018 par Xavier Belin, pianiste, arrangeur et compositeur, Pitakpi est un quartet de jazz fortement influencé par les musiques afro-descendantes.
Il puise ses inspirations notamment dans la musique traditionnelle Martiniquaise, île natale du pianiste.
LE MOT « PITAKPI » FAIT RÉFÉRENCE AUX ONOMATOPÉES UTILISÉS POUR LA CLAVE DU «TI-BWA» (TAK-PI-TAK-PI-TAK), CLAVE À PARTIR DE LAQUELLE EST CONSTRUITE QUASIMENT TOUTE LA MUSIQUE TRADITIONNELLE MARTINIQUAISE.
C’est donc à travers un quartet (Vibraphone, Piano, Basse, Batterie) que Xavier Belin a décidé de nous dévoiler ses compositions. Pour cela il a choisi ses musiciens avec minutie...
Il fait appel tout d’abord au batteur Laurent Emmanuel Bertholo. Les deux musiciens se connaissent depuis le lycée où ils s’étaient promis de se retrouver autour d’une multitude de projets au grès de leurs aventures futures.
Il sollicite également Elvin Bironien à la basse, qu’il a rencontré dans les « jam sessions » parisiennes et avec qui une complicité s’est rapidement formée. Sa connaissance à la fois du jazz et des musiques caribéennes a tout de suite conquis Xavier.
Il demande aussi à Alexis Valet de participer au Vibraphone. Outre la grande complicité qui s’est formée entre les deux musiciens lors de leurs cursus au Pôle Supérieur de Musique de Paris, Xavier a choisi le vibraphone comme instrument soliste notamment pour son coté percussif et métallique qui se marie à merveille avec ses compositions.
Le ti-bwa en plus d’être une clave est également le nom d’un instrument à percussion traditionnel de la Martinique fait d’un morceau de bambou horizontal
sur lequel on tape avec des baguettes.
Xavier Belin est attaché aussi bien à sa culture qu’à la modernité de l’écriture. Dans ses compositions il décide de déstructurer - contourner l’utilisation du ti-bwa
vu en tant que clave et instrument.
Xavier a également développé un jeu en piano solo bien à lui, très influencé par la musique caribéenne. Jeu que l’on découvre dans certaines parties solo de son répertoire.
MADNESS
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